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Journal latin des missions du bienheureux Julien Maunoir, missionnaire en Bretagne

À paraître en décembre 2020 : « Le bienheureux Julien Maunoir, missionnaire en Bretagne. Journal latin des missions. 1631-1650 », traduit et présenté par Fañch Morvannou († 2019), préfacé et édité par le père Hervé Queinnec (Quimper). Livre de 386 pages, avec texte latin et traduction française en regard.
Le célèbre Journal latin des missions du père Maunoir, dont une copie est conservée aux Archives diocésaines de Quimper, et l’original à Rome, est une source exceptionnelle pour connaître l’histoire de la Réforme catholique en Bretagne au 17eme siècle. Une première traduction en français avait été publiée par E. Lebec en 1997 aux Éditions de Paris, mais sans le texte latin ; la présente édition par la Société archéologique du Finistère offrira une version bilingue latin et français.

Souscription lancée

Prix de souscription jusqu’au 1er décembre 2020 : 19 € (port en sus 4€), Au-dela du 1er décembre, prix de souscription de 25 €.

Merci d’adresser vos souscription à la Société archéologique du Finistère, 8C, rue des douves, BP 81156, 29101 Quimper cedex.

En savoir plus sur Julien Maunoir

Julien Maunoir naquit en 1606 à St-Georges-de-Reintembault dans le diocèse de Rennes. La Bretagne était alors dans un état d’ignorance religieuse extrême ; les populations étaient en proie à la superstition et à l’immoralité.

Admis au noviciat des Jésuites de Paris, Julien Maunoir était très attiré par les missions du Canada, comme son compagnon de scolasticat, Isaac Jogues, en même temps que séduit par un idéal de vie purement contemplative. Dieu le destinait cependant aux missions bretonnes ; et la Vierge Marie lui obtint une connaissance miraculeuse du breton.

Dès 1640, il ne cesse de parcourir, ordinairement à pied, tous les diocèses de Bretagne. Son action intense, sa parfaite adaptation aux besoins des âmes et surtout sa prière continuelle obtiennent chez les populations bretonnes un réveil de la foi, puis l’affermissement d’une vie chrétienne fervente. Le clergé est gagné par son exemple et le Père Maunoir entraîne après lui dans les missions plus de mille prêtres ; la durée de son œuvre fut ainsi assurée. Il mourut à Plévin, le 28 janvier 1683.

Site officiel des Jésuites

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