Une rencontre inter-équipe Madeleine Delbrêl à la Maison diocésaine Saint-Yves

On l’aime parce qu’elle « très enracinée, bien ancrée dans la vie (la société et l’Eglise de son temps). Si elle semble « très exigeante, dérangeante ». « Je suis chamboulé par Madeleine » disait l’un de nous – on parle d’elle comme d’ « une grande sœur », « une compagne de vie », une figure stimulante et on aime « sa radicalité évangélique » qui invite à « progresser « et à vivre davantage en témoin du Christ dans la vie quotidienne la plus ordinaire. On la qualifie de « prophète » : elle préconisait bien avant le Concile Vatican II,  l’ouverture de l’Eglise au monde, par exemple ou encore l’importance de la Parole de Dieu dans la vie du disciple du Christ. On apprécie aussi « sa spiritualité très équilibrée » : une femme d’action et d’engagement mais aussi une grande priante si bien qu’on a souvent une grande complicité avec elle.