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Un projet de fraternité autour de la spiritualité de Madeleine Delbrêl

Un projet de fraternité autour de la spiritualité de Madeleine Delbrêl est en cours d’élaboration sur le diocèse de Saint-Brieuc. Il est ouvert à toutes initiatives et tous souhaits dans le sillage de la spiritualité de Madeleine Delbrêl… afin de partager la mission avec d’autres. Vous êtes intéressé par la spiritualité de Madeleine Delbrêl ? Vous désirez en savoir plus / adhérer à cette fraternité de vie proposée ? Contactez Annick Bertho sur son mail : ankbertho@yahoo.fr.

La vie de Madeleine Delbrêl

Madeleine  Delbrêl est née à Mussidan en Dordogne en 1904. Sa mère était issue de la petite bourgeoisie (famille tenant une manufacture de cierges) et son père de milieu ouvrier : il était cheminot à la SNCF ; ce qui valut à Madeleine (fille unique) de déménager de nombreuses fois pour suivre sa famille. Elle n’eut que des rudiments au niveau de sa foi, durant son enfance. En 1916, son père étant nommé chef de gare, elle arrive  à Paris. Elle était  douée en musique, poésie, peinture, littérature ; entraînée par son père, elle participera vite à des cercles littéraires tenus par le Dr Armaingaud résolument athée. D’ailleurs, Madeleine proclame son athéisme à 17 ans « Dieu est mort, vive la mort » ! Elle rencontre chez le Dr Armaingaud, d’autres jeunes, particulièrement, Jean Maydieu dont elle devient amoureuse. On les croit fiancés mais, Jean quitte brusquement M.  pour entrer chez les dominicains! Elle en est profondément meurtrie mais, peu à peu, se laisse interroger par la foi des copains de Jean. Elle se convertit à 20 ans. Elle rencontre l’abbé Lorenzo, curé de sa paroisse qui lui parle de l’Évangile, alors, c’est « l’éblouissement ! » : « J’ai été et je suis restée éblouie par Dieu », dira-t- elle. Elle fait du scoutisme, des études d’assistante sociale.

En 1933 avec 3 compagnes, elle décide en lien avec l’abbé Lorenzo et le cardinal Verdier, de partir à Ivry, en pleine banlieue marxiste,  non pas pour faire des choses,  mais pour « vivre la Charité du Christ » parmi les pauvres et les ‘incroyants’, une vie en  « coude à coude avec les gens ». Elles se veulent données à Dieu et décident de rester  célibataires, sans statut particulier dans l’Église. Elles s’installent au centre social paroissial, près de l’église. Madeleine découvre la misère des gens, les injustices vécues par les ouvriers et surtout le clivage qui existe à Ivry, entre les chrétiens, qu’elle trouve enfermés en un repli frileux et les communistes très actifs et militants pour faire advenir plus de justice. Elles quitteront le centre social paroissial et iront habiter non loin de la mairie communiste, au 11, rue Raspail où elle vivra jusqu’à la fin de sa vie, avec ses compagnes, accueillant dans une grande diversité,  tous ceux qui veulent avoir un peu d’écoute. Elles seront paroissiennes mais pas paroissiales ; elle liera des relations cordiales sinon amicales avec la mairie. La confiance réciproque fera, qu’elle sera nommée coordinatrice des centres sociaux d’Ivry et vivra  une collaboration efficace avec les membres du parti. Très appréciée, elle sera aussi respectée dans sa foi ; et refusera après discernement, de prendre la carte du parti puisque le communisme nie Dieu.

Elle restera toujours fidèle à l’Église même si elle aura occasion d’en souffrir ; elle sera mêlée au bouillonnement de l‘Église de l’époque pré-conciliaire. Elle vivra la crise des prêtres ouvriers et participera à la naissance de la Mission de France. Elle défendra de grandes causes qui la mèneront à aller trouver Vincent Auriol président ou même le pape. Et elle écrit énormément. Ses œuvres paraîtront surtout après sa mort. Elle meurt, sur sa table de travail, le 13 octobre, en plein concile. Ses équipes se sont multipliées puis se sont éteintes. Mais ses intuitions restent  lumière pour notre temps… Aujourd’hui,  son procès en béatification  est en cours à Rome ; l’Église l’a reconnue « vénérable » en janvier  2018 et beaucoup de gens et de groupes vivent de sa spiritualité. Une forme de vie consacrée, séculière est en train de se mettre en route, dans l’esprit de M. Delbrêl. Sa maison, au 11, rue Raspail, vient d’être restaurée. L’inauguration a été  faite en octobre 2020 en présence de l’évêque de Créteil et du maire communiste d’Ivry, ça en dit long sur ce qu’elle a laissé comme message à Ivry-surSeine (Val de Marne).

Les grands thèmes de sa spiritualité, de ses intuitions

C’est le point d’orgue de la spiritualité de Madeleine… qui rejoint beaucoup notre pape François  dans son exhortation apostolique ‘Gaudete et Exsultate’.  Madeleine nous dit : « Pour nous, gens de la rue et de la vie ordinaire, nous vivons avec nos frères, la banalité de la vie quand nous partageons avec eux ; c’est là et pas ailleurs que nous sommes appelées à vivre la sainteté ». ou encore son célèbre texte  sur les gens ordinaires « Il y a des gens que Dieu met à part, il y en d’autres qu’il laisse dans la masse. » [1] Oui, Madeleine a ouvert une voie de sainteté dans la vie ordinaire, la vie quotidienne, en plein cœur du monde, notre monde bousculé, notre monde qui a mal et que Dieu aime. Les plus petites choses à faire, les plus simples gestes « nous font autant aimer Dieu que les grandes actions ». Elle dit encore « Qu’importe ce que nous avons à faire : un balai ou un stylo à tenir, parler ou se taire, raccommoder ou faire une conférence… Tout cela n’est que l’écorce d’une réalité splendide : la rencontre de l’âme avec Dieu, à chaque minute renouvelée : On sonne ? Vite,  allons ouvrir : c’est Dieu qui vient nous aimer, Un renseignement ? Le voici, c’est Dieu qui vient nous aimer etc… » Madeleine avait un sens aigu de la présence de Dieu, dans la vie ordinaire de nos villes… Pour elle, le chrétien  est « une charnière » entre Dieu, le Royaume et,  le monde, le prochain… Extraordinaire  dans l’ordinaire, est son récit intitulé « Liturgie des  sans offices ». Après le travail, Madeleine se trouve avec quelques amis, en début de nuit, dans un bistrot ‘Le Clair de Lune’ et elle regarde autour d’elle et elle voit des gens tristes, des gens seuls qui s’ennuient, des gens avachis autour de la table, certains qui ont trop bu peut-être  et elle prie intérieurement et ce sera ce texte émouvant : « Liturgie dans un café » (JC, 195-197.) [2]

Pour Madeleine, on ne peut aimer Dieu, sans aimer celui qui est le plus près de nous, le prochain, celui que l’on croise dans la rue… Elle avait un sens aigu de l’indivisible amour de Dieu et du prochain. Alors, si c’est aussi simple, (mais exigeant !) de marcher sur le chemin de la sainteté, à quoi bon vivre une vie à part ? Non, Madeleine choisira de vivre une vie laïque  dans l’Eglise… Avant  le Concile Vatican II, elle est « précurseur ». Vatican II mettra en valeur les laïcs comme étant membres à part entière du Peuple de Dieu et responsables de l’évangélisation du monde, parce que justement immergés dans ce monde ! Madeleine a voulu vivre cela : « Nous désirons être et rester laïques c’est-à-dire des gens tout à fait pareils aux autres, partageant la vie de nos contemporains, leurs conditions de vie, leurs luttes, leurs joies, leurs peines et pleinement vouées, données à Dieu dans le célibat » Elle revendiquait avec ses compagnes que les « n’importe qui, de n’importe où » pouvaient vivre cela sans entrer dans un ordre religieux ! c’était complètement insolite à l’époque ! Elle affirme que c’est, plongées dans le monde, immergées en lui qu’elles seront plongées en Dieu. C’est vraiment une haute idée de la vie laïque, idée-phare du concile,  qui fera son chemin lentement ! C’est reconnaître la grandeur du Baptême, qui configure au Christ et qui engage sur le chemin de la sainteté, et cela pour tout être humain. Madeleine aura toujours beaucoup de respect pour ses frères et sœurs en Christ qui se séparent du monde, pour entrer dans un monastère ; elle sait que son chemin à elle, c’est d’être enfoncée aussi loin que possible dans l’épaisseur du monde, séparée de ce monde  par aucune règle, aucun habit, aucun vœu, aucun couvent, aucune œuvre. Ce ne sera pas simple surtout à cette époque-là ! Certaines de ses compagnes et même l’Eglise essaiera de leur trouver un statut, de les mettre dans une ‘case’ qu’on peut cocher !… Ainsi à un moment donné, il y aura des rapprochements et  des discernements avec l’institut séculier « Caritas Christi ». En fin de compte, elles resteront ce qu’elles étaient, donnant foi et valeur à la vie laïque comme possibilité de suivre le Christ, au même titre que la vie religieuse ou la vie presbytérale. Le baptême rend chaque baptisé, « Prêtre, prophète et roi »… Chaque baptisé, comme le disait le Père Congar, théologien influent du concile Vatican II : Un seul est Prêtre, tous sont prêtres et certains sont prêtre. Cela remet les choses en place, pour hier, pour aujourd’hui et encore pour demain !

  • L’Évangile à vivre

Au tout début de sa conversion, c’est surtout un raisonnement intellectuel qui l’amène à l’idée de l’existence de Dieu ; puis, grâce à l’abbé Lorenzo, c’est la découverte de l’Évangile « Il fit pour moi, exploser l’Évangile » dit-elle. [3] « Tu vivais et je n’en savais rien ». Sa vie sera désormais « pétrie » d’Évangile, elle s’y referait naturellement, spontanément de la manière la plus concrète. Elle dit : « On ne peut rencontrer Jésus, pour le connaître, l’aimer, l’imiter sans un recours concret, constant, obstiné à L’Evangile sans que ce recours fasse intimement partie de notre vie » [4]. Rappelons que le projet de Madeleine et de ses compagnes, en venant à Ivry, n’était pas très précis : elles voulaient essentiellement vivre parmi les gens comme de « simples voisines », vivre l’Amour du Christ auprès de  tous ceux  qu’elles rencontraient.

Elles voulaient être et faire auprès de chacun(e), ce qu’aurait été et ce qu’aurait fait Jésus. Il ne s’agissait donc pas d’abord de soigner des malades ou construire une œuvre d’éducation mais de VIVRE, pas seulement d’agir comme Jésus l’aurait fait, mais d’être « Agies par Lui ». Comme le disait Saint Paul bien avant elle, il s’agissait « de laisser vivre le Christ en soi ; être d’autres Christ pour les autres ». C’est le fondement de sa spiritualité et de son rapport profond et exigeant  à l’Évangile. « La Parole de Dieu, on ne l’emporte pas au bout du monde, dans une mallette : on la porte en soi, on l’emporte en soi… on ne la met pas dans un coin de soi-même, de sa mémoire, comme sur une étagère d’armoire où on l’aurait rangée ; on la laisse aller jusqu’au fond de soi, jusqu’à ce gond où tout pivote en nous-mêmes. »

  • Être missionnaire, n’est pas facultatif

Pas besoin de s’embarquer  sur un avion ou un bateau vers un pays lointain. Madeleine sera une « missionnaire sans bateau ». [5] Madeleine, arrivée à Ivry, a vite compris que les chrétiens ne pouvaient vivre en ghetto et l’athéisme qui l’entourait a éveillé en elle, un sens aigu de la mission (elle utilisait alors le mot « apostolat ») qui est d’une brûlante actualité aujourd’hui où le monde est gagné par l’indifférence religieuse. De part sa profession d’assistante sociale, immergée dans la population, et à la tête des centres sociaux de la ville, elle a connu les misères et détresses de toutes sortes, de même que les injustices entretenues par les patrons d’usine, souvent chrétiens ! Elle ne peut qu’admirer les militants communistes avec lesquels elle travaille à la mairie. Très vite aussi, elle se sent partagée entre deux abîmes : sa passion pour l’Évangile du Christ et sa passion pour la vie des hommes, elle se sent marcher sur une ligne de crête [6]. Elle est sur le même terrain que les militants communistes, partageant leurs espoirs, se mêlant  aux combats menés, distribuant des tracts et collant des affiches mais Madeleine, ne lâche pas l’Évangile et le temps de la prière qui lui permet de ne pas tomber dans l’idéologie. Elle va apprendre à les aimer chacun pour ce qu’ils sont, va connaître leur générosité, leurs désintéressement, mais elle osera leur écrire qu’avec « leur implacable certitude, ils sont les plus égarés des hommes » (VM,19). Ce langage fort, scellera cependant une amitié profonde qui naîtra avec ces marxistes et se maintiendra au-delà de la mort. La  conclusion de cet épisode, Madeleine l’inscrira de sa main dans la dédicace de son livre « Ville marxiste, terre de mission » offert à Mr Venise Gosnat, adjoint au maire d’Ivry : « A Monsieur Venise Gosnat, dont je suis la mauvaise élève en marxisme mais aussi l’amie fidèle, respectueuse de sa générosité concrète, j’offre de tout cœur ce livre, sûre que s‘il ne l’approuve pas, il le comprendra. » Ce à quoi M. Gosnat répondra : « Je ne puis, comme vous l’avez pressenti, approuver votre ouvrage… Le marxiste que je suis vous ayant exprimé la raison  du  profond désaccord existant sur la question sociale avec la chrétienne que vous êtes ; l’ami veut maintenant vous dire que vous ne vous êtes pas trompée en assurant que je vous comprendrais. »

A Ivry, dans ce monde éloigné de Dieu, Madeleine note la solitude intérieure qui accompagne sans qu’il s’en rende compte, « le missionnaire sans bateau », en plein milieu incroyant. « Ce qui peut nous éprouver le plus sensiblement, c’est souvent la disparition d’un Dieu jusque–là évident pour nous. On semble dans ce milieu, s’en passer fort bien, et Dieu ne semble manquer ni à rien, ni à personne. Simultanément, malgré les grandes affections, nous nous sentons devenir étrangers aux autres par la foi qui nous les fait aimer de plus ne plus » (NA , 315-316)

Vivre seul la foi, là où l’on est seul à croire (et pour cela chercher et prendre les moyens) sera l’une des plus fortes lumières intérieures sur le chemin de Madeleine. Par sa seule existence,  elle affirmera la nécessité de modes nouveaux de présence humaine et chrétienne. « Il y a un mur qui sépare l’Eglise de la masse, il faut l’abattre à tout prix ! » Madeleine  sentait de  toutes ses fibres, qu’un rapprochement de l’Eglise et du monde était urgent. Ce sera l’œuvre du concile Vatican II, dont la réception est encore inachevée !  Quand sonne l’heure de l’ouverture du concile, en 1962, Madeleine aura reçu et conseillé de nombreux prêtres, évêques et religieux, venus  s’enrichir de sa longue expérience de chrétienne, en milieu  incroyant. Elle aura aussi multiplié les conférences !

Madeleine Delbrel a participé à la naissance de la Mission de France ; cela correspondait à ce qu’elle désirait, elle est toujours restée liée et fidèle aux efforts qui y étaient faits. Au moment de la grande crise des prêtres ouvriers, Madeleine a discerné une confusion et une idéologie périlleuse. Ce qui subsista toujours chez elle, c’est le fil conducteur : le Christ-Eglise« Le croyant, disait-elle, est comme un fil électrique chargé d’un courant qui ne vient pas de lui. » Même si on ne peut qu’admirer, ceux qui sont autour de nous, on ne peut oublier que nous sommes là, pour apporter le salut qui vient du Christ par l’Eglise. Quand arrive en 1952/54 les décisions de Rome mettant fin au travail en usine des prêtres, Madeleine n’ignorera pas que la Mission n’a pas été pure de toute erreur de part et d’autre. Elle se fera proche de tous, de ceux qui quitteront l’Eglise comme de ceux qui obéissent. En 1952, elle s’était rendue à Rome pour prier pendant 12 heures, à corps perdu !

La réponse de Madeleine ne varie jamais ; elle est dans la prière et la méditation de l’Évangile. Très engagée temporellement, Madeleine connaissait les joies et les peines d’une vie disponible ouverte à tout vent. Elle a expérimenté les deux risques extrêmes : s’engloutir dans l’action et se décourager : « La prière seule donne à votre vie sa robustesse, la prière est la ‘jointure’ de notre vie… C’est la fine pointe de notre amour de puiser, par la prière, la vie au cœur de Dieu pour le monde. » (IA, 100) La vie de foi, ne peut se passer de la prière. Madeleine utilise comme souvent des images concrètes de la vie de tous les jours : « Il s’agit de prier comme on respire ou comme on va au marché quand on a faim et que la journée sera dure ».

Dans tous les états de vie, la prière est une relation d’amour de l’homme avec Dieu. Dans une vie laïque, elle peut être difficile car c’est un cadeau fait à Dieu, d’un temps si précieux ! si bien que la prière sera toujours un peu ou beaucoup « un sacrifice » c’est-à-dire que celui qui prie s’arrache à toutes ses préoccupations pour se consacrer gratuitement à Dieu ; c’est un prélèvement du temps dont le seul but est d’être offert à Dieu.

Toute prière chrétienne  participe aussi à l’élan du Christ et de l’Eglise vers le Père. Madeleine écrit : « Nous devons quitter le ‘je’ et le ‘moi’  pour dire ‘nous’. C’est dans le Christ, avec Lui et par Lui que nous prions. » (JC, 219 )

Nous ne prions jamais seul, mais avec toute l’Eglise et nous portons le monde devant Dieu ; c’est la dimension apostolique de la prière : nous prêtons notre voix, à ceux qui ne prient pas. La prière des laïcs en particulier, s’élève du cœur du monde. « Si certains doivent quitter le monde pour le trouver et le soulever vers le ciel, d’autres doivent s’enfoncer en lui, pour se hisser avec lui, vers le ciel ! »

Madeleine écrit des lignes savoureuses quant au manque de temps et d’espace qui peuvent être des obstacles et des prétextes, à l’abandon de la prière surtout dans la vie laïque. ! [7]. Elle avait un incroyable sens de l’humour qui faisait qu’elle pouvait faire sourire à partir de n’importe quelle situation ! [8].

Projet de fraternité à la « Madeleine Delbrêl »

Ce projet est en cours d’élaboration. Il est ouvert à toutes initiatives, souhaits en respectant les trois pôles principaux : le vécu, la vie ordinaire ; l’Évangile à vivre ; la spiritualité de Madeleine Delbrêl. Ces trois pôles sont développées ci-dessous afin de partager la mission avec d’autres.

Vous êtes intéressé par la spiritualité de Madeleine Delbrêl ? Vous désirez en savoir plus / adhérer à cette fraternité de vie proposée ? Contactez Annick Bertho sur son mail : ankbertho@yahoo.fr.

Moyens :

  • Le livre « L’éblouie de Dieu »
  • Les fiches du centenaire de M.Delbrêl ( 2004 )
  • Prier 15 jours avec M.Delbrêl par Bernard Pitaud
  • Reportage-film sur Youtube
  • Livre de Jacques Loew (Vivre l’Evangile avec M.Delbrêl )

Thèmes à privilégier pour connaître sa spiritualité :

  • Mystique de la rue.
  • L’Évangile à vivre.
  • La Parole qui se fait CHAIR
  • La Foi d’une éblouie de Dieu.
  • Le sens de la souffrance
  • Prier, c’est puiser la vie de Dieu
  • La bonté ( langage de l’Évangile )
  • Aimer le Christ-Eglise
  • L’apostolat, mission non facultative.
  • Noter
  • Relire avec une méthode
  • Partager la relecture
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